"Je voulais qu’on me laisse dormir": la détresse psychologique d'étudiants toulousains
par AFP FR
"J’avais plus la motivation, je voulais qu’on me laisse dormir et qu’on me laisse tranquille": pour de nombreux étudiants, la reprise très partielle du présentiel début février ne comble pas l’isolement ni l’angoisse du lendemain provoqués par la crise sanitaire. Certains, en détresse psychologique, bénéficient d’un soutien gratuit proposé par des services de soin dédiés, tels que le SIMPPS à Toulouse.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
06:02Économie - Dernier tête-à-tête Biden-Xi avant l'ère Trump
-
06:02Économie - Logements à base de champignons à Gaza? Des designers arabes proposent des innovations durables
-
05:58Tech-media - Avec Trump et Musk, un Big Bang pour le programme spatial?
-
15/11Sports - Pro D2 (J11) : Grenoble retrouve son fauteuil
-
15/11Auto - Michelin n'échappe pas à la crise des équipementiers