"Je voulais qu’on me laisse dormir": la détresse psychologique d'étudiants toulousains
par AFP FR
"J’avais plus la motivation, je voulais qu’on me laisse dormir et qu’on me laisse tranquille": pour de nombreux étudiants, la reprise très partielle du présentiel début février ne comble pas l’isolement ni l’angoisse du lendemain provoqués par la crise sanitaire. Certains, en détresse psychologique, bénéficient d’un soutien gratuit proposé par des services de soin dédiés, tels que le SIMPPS à Toulouse.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
14:00Sports - Rennes - Sampaoli : «Il faut encore apprendre»
-
13:18France - Une minute de silence pour "entourer les Mahorais" après le cyclone dévastateur à Mayotte
-
13:06Monde - Câbles rompus en Baltique: le parquet suédois n'a pas été autorisé à mener son enquête à bord du Yi Peng 3
-
12:47Économie - Le Japon accuse Google d'infraction à la législation antitrust
-
07:00Auto - Les radars automatiques flashent-ils plus vite quand il pleut ?