Droit de correction: "Quand on tape, on crie, on hurle, on gifle (...) on entraîne chez nos enfants des moments de soumission et de révolte", affirme la pédiatre Edwige Antier
par BFMTV
Un ancien major de police aux frontières poursuivi pour des violences sur son ex-femme et ses enfants a été relaxé par la cour d'appel de Metz. Une décision que la juridiction motive par un "droit de correction" qui serait reconnu aux parents. Trois recours ont été déposés auprès de la Cour de cassation par les avocats de l'ancienne femme du policier et de ses enfants, ainsi que par le parquet général de Metz
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
16:07Sports - Edin Terzic, l'improbable retour... en Iran ?
-
16:05Monde - Un hôpital clé de Gaza fermé, son directeur détenu selon des responsables
-
15:59Monde - Syrie: le nouveau dirigeant rencontre des représentants du gouvernement libyen de l'ouest
-
15:50Monde - Disparu pendant 9 jours, leur chien revient et sonne à la porte pour Noël
-
09:10Auto - « Uber by Women » : Des conductrices pour la sécurité des femmes