A L'AFFICHE - Jean Hatzfeld, de retour au Rwanda aux côtés d'Englebert
par france24
Depuis près de quinze ans, le journaliste et écrivain Jean Hatzfeld ne cesse de raconter le génocide rwandais. Il a déjà consacré trois récits à cette tragédie et publie "Englebert des collines", le témoignage poignant d'un rescapé du génocide.A l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, chez Gallimard, et de la parution en version compilée de ses trois précédents récits sur le génocide rwandais, au Seuil, il revient avec Axelle Simon sur les récits de ces hommes et de ces femmes qui témoignent de leur passé et de leur vie à Nyamata, une des régions où les massacres ont été les plus massifs, devenue aujourd’hui un lieu de mémoire.France 24 : Lors des commémorations des 20 ans du génocide organisées à Kigali, le président rwandais Paul Kagame a eu des mots durs envers la France. Qu’en avez-vous pensé ?Jean Hatzfeld : La France est un peu responsable de ces accusations, sur lesquelles je n’ai d’ailleurs pas d’idées précises. Son tort est de ne pas accepter de regarder plus sereinement cet épisode – assez court - de son histoire. Si elle le faisait, elle s’apercevrait sans doute que ce n’est pas si terrible que ça. Cela éviterait toutes ces rumeurs, ces crispations et cette réaction assez violente du président rwandais. Que ce soit avec l’Algérie, avec l’Occupation, la France a toujours eu du mal à se retourne... Lire la suite sur notre site web.Visitez notre site :http://www.france24.comRejoignez nous sur Facebookhttps://www.facebook.com/FRANCE24Suivez nous sur Twitterhttps://twitter.com/France24_fr#
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
07:15Monde - Attaques russes massives sur l'Ukraine le jour de Noël
-
07:05France - Plusieurs milliers de voyageurs TGV et Ouigo bloqués le soir du réveillon de Noël
-
07:00Auto - Comment endiguer la fraude dans les transports ?
-
06:59Monde - Les chrétiens fêtent un Noël assombri par les guerres
-
24/12Sports - Man City : Michaël Owen avait prévu l'effondrement