William Deligny, cet ancien skinhead qui a connu l'ultra violence devenu moine près de Rouen, sujet d'un documentaire
par Paris-Normandie
Il y a trente ans, William Deligny changeait totalement de vie. Skinhead, guitariste dans un groupe très violent qui répétait régulièrement au Havre, cet homme a créé un monastère hindouiste reconnu par l'Etat dans la périphérie rouennaise, à Saint-Etienne-du-Rouvray. Repenti, ce moine prône aujourd'hui la non-violence. Et se sert de son passé pour aider les publics en difficulté. Tout en gardant une âme rock et en faisant de la moto. Une personnalité atypique qui a intéressé Jean-Marie Châtelier, cinéaste havrais, qui sort un film documentaire "William et les fantômes"
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