Les supporters du FC Martigues ravis de retrouver la Ligue 2 au Vélodrome
par La Provence
Qui n'a jamais rêvé de jouer au stade Vélodrome ? S'il faut être joueur de l'OM pour en avoir le privilège régulièrement, joueur de Ligue 1 pour pouvoir fouler la pelouse marseillaise une fois par an, ou avoir un peu de chance en évoluant dans un club européen (mais pas tous les ans) ou beaucoup de chance en coupe de France, il existe désormais une nouvelle catégorie : joueur du FC Martigues, qui reçoit Lorient ce soir en clôture de la première journée de Ligue 2. Alors que le stade Francis-Turcan, antre habituel des Sang et Or, est en travaux pour se mettre en conformité avec les normes de la LFP, la solution de repli trouvée au milieu de l'été a étonné tout le monde : le Vel', rien de moins, alors que l'autre option envoyait le FCM à Gueugnon, ce qui est quand même moins sexy. Pour les supporters Martégaux, la possibilité de voir leur équipe jouer à Marseille est un pur bonheur. Car, beaucoup d'entre-eux sont aussi de fervents fans de l'OM et sont donc des habitués des lieux. Pour autant le souhait de retrouver Francis Turcan "le plus rapidement possible" se fait également sentir. En attendant, ils vont profiter des quelques soirées à venir au Vélodrome, dont le coût pour le club s'élève à 150 000 euros par rencontre. Ce tarif est assez conséquent pour le plus petit budget de Ligue 2. Le président, Pierre Wantiez, s'est dit prêt à étudier une autre option si elle se présente. En attendant, le FCM va renouer avec la Ligue 2 sur la plus belle scène de France. On a connu pire.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
02:51Monde - Harris ou Trump: l'Amérique dans une attente fébrile
-
02:29Environnement - Japon: première neige sur le Mont Fuji, la plus tardive jamais vue
-
02:21Monde - Nerveux ou pleins d'espoir, les trumpistes de Floride attendent les résultats et leur champion
-
00:57Sports - Real Madrid : Ancelotti, « Nous ne sommes pas bien moralement »
-
05/11Auto - Le centre de Paris devient une zone à trafic limité (ZTL)