Les casses-tête de De Zerbi face à Lyon
par La Provence
À un peu plus de 48 heures du coup d'envoi de l'Olympico, Roberto De Zerbi a pu compter sur la quasi-intégralité de son effectif pour orchestrer son entraînement, ce vendredi. Seuls Quentin Merlin, blessé, et Adrien Rabiot, en phase de reprise, manquaient à l'appel. L'ambiance était légère ce vendredi midi sur les hauteurs de La Commanderie, où les Olympiens, par petits groupes, se sont présentés à la séance concoctée par Roberto De Zerbi et ses adjoints. L'occasion de voir la complicité toujours intacte entre Amine Harit et Mason Greenwood, ainsi que celle liant les anglophones Neal Maupay, Pierre-Emile Hojbjerg et Jonathan Rowe, hilares avant le premier coup de sifflet. Rabiot toujours à part Si un sourire habillait tous les visages, cette bonne humeur était autant le fruit de la série de bons résultats qui porte l'OM depuis les trois coups de la saison, que la présence d'un groupe au quasi-complet. À l'exception de Quentin Merlin, touché à la cuisse depuis sa pige en équipe de France Espoirs début septembre, sur le flanc pendant "trois à quatre semaines" selon le club, et de la dernière recrue en date Adrien Rabiot, qui se remet à niveau physiquement en marge de l'effectif, tous les Olympiens étaient sur le pont. En premier lieu Leonardo Balerdi, qui a renoué cette semaine avec les séances collectives, et devrait, sauf surprise, retrouver une place de titulaire ce dimanche à Lyon, aux côtés de Lilian Brassier. Incertain le week-end dernier face à Nice, Elye Wahi était lui aussi sur pied.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
00:29Économie - Le budget au Sénat, dernières heures apaisées pour un gouvernement en sursis
-
00:25Tech-media - Dernière passe d'armes au second procès contre Google, axé sur la publicité
-
25/11Sports - Bayern Munich : Kimmich, une prolongation plutôt que le PSG ?
-
25/11Faits divers - Les tantes des frères Menendez réclament leur libération à la justice américaine
-
25/11Auto - Pourquoi les voitures françaises avaient-elles les phares jaunes ?