La crise des 120 lignes par heure : les 80 ans du Télégramme
par Le Télégramme
Au cours de l’hiver 1961 éclate l’un des principaux conflits sociaux ayant marqué l’histoire du Télégramme. Il trouve son origine dans une norme syndicale datant de 1920, qui établit à 120 lignes par heure la cadence de travail des ouvriers de l’imprimerie. Ceux-ci exigent une majoration de tarif quand cette quantité est dépassée. La direction accepte… sous réserve de pouvoir désormais contrôler les volumes de production, ce qu’elle ne faisait pas. Refus catégorique. L’atelier de composition cesse le travail, la direction suspend la parution. « Quelques millions » de francs perdus plus tard, un accord est trouvé. L’entreprise s’en sort bien : ce que la crise a démontré, c’est le caractère central du journal dans la vie de la région, son absence pénalisant toute l’activité.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
19:10Société - Cancer du sein : des erreurs de traitement à répétition, le progrès médical en cause ?
-
19:09Politique - Budget 2025 : Michel Barnier dit qu’il utilisera “probablement” le 49.3
-
19:00Sports - PSG : Hernandez de retour à l'entraînement collectif la semaine prochaine ?
-
18:54Faits divers - Besançon: des adolescents suspectés de guets-apens via un site de rencontres
-
07:00Auto - Innovations du futur : Ford et Bentley ont de l'imagination !