À 102 ans, Albert Corrieri est le doyen du Relais de la flamme
par La Provence
De belles images pour les Marseillais ! Ce jeudi 9 mai après-midi, la flamme olympique est arrivée devant le Palais Longchamp aux mains d'Albert Corrieri, doyen centenaire porteur de la flamme. À bientôt 102 ans, "c'est le plus beau jour de sa vie", nous confie-t-il. Il a passé le relais de la torche olympique à Denis Gargaud Chanut, champion céiste, originaire d'Apt (Vaucluse). "Je suis très fier, c'est un moment si particulier", admet le sportif. "Il est sur un nuage." Et le centenaire de prendre un bain de foule. "J'ai 102 ans, je ne ferai pas le deuxième round", plaisante le doyen porteur de la flamme. Il se dit content d'être arrivé jusque-là pour ce moment historique. "Je suis content d'y être arrivé et j'ai pu faire le parcours qu'on m'avait demandé !" se félicite-t-il, grand sourire aux lèvres. Parce que "j'avais le souci mais là je l'ai fait !" "Je suis très satisfait surtout de l'accueil qu'on me fait. C'est incroyable, très gentil, très très gentil. (...) Je remercie les Marseillais et les Marseillaises de m'avoir accueilli de cette façon. Ça m'a beaucoup touché", poursuit Albert. "Vous êtes la star des jeux olympiques", assure Benoît Payan, maire de Marseille. Christian Corrieri, était aux côtés de son père pour vivre cet instant olympique. "Il est sur un nuage", confie le fils. Le doyen est reparti sous les applaudissement du public venu en nombre pour voir la flamme avant la prochaine étape au parc de la Moline.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
08:30Monde - La Corée du Sud évalue à 1.100 les soldats nord-coréens tués ou blessés face aux Ukrainiens
-
08:16Sports - Lens-PSG : Safonov : «Je ne crois pas que je sois l'homme du match»
-
07:58Monde - Donald Trump veut "exclure les transgenres de l’armée, des écoles primaires, des collèges et des lycées"
-
07:00Auto - Les radars automatiques flashent-ils plus vite quand il pleut ?
-
06:52Économie - Bassin d'Arcachon: un an après la pollution, la filière ostréicole peine à se relever