Hillary Clinton : « Je serais présidente » sans les piratages russes et le FBI

par Ouest France - Wibbitz

A défaut d'un véritable mea culpa, Hillary Clinton a livré mardi 2 mai son interprétation la plus claire à ce jour, de sa défaite face à Donald Trump. Elle accuse le directeur du FBI James Comey, Vladimir Poutine et WikiLeaks de lui avoir volé une victoire quasi-acquise. Le président Donald Trump lui a rétorqué quelques heures après avec deux tweets sarcastiques, répétant que les démocrates utilisaient ces accusations anti-russes comme excuse pour masquer leur humiliation dans les urnes.

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