6Medias, publié le jeudi 29 mars 2018 à 19h08
À l'occasion de la sortie de son dernier album "Forever Young", Nana Mouskouri s'est confiée en exclusivité à VSD.
Dans cet opus, la chanteuse grecque de rendre hommage aux artistes qui l'ont inspiré tout au long de sa carrière. Et la plupart sont plutôt rock'n'roll.
Des Beatles à Alphaville, en passant par Leonard Cohen, ou encore Amy Winehouse. Interrogée sur les problèmes de drogue qu'ont pu connaitre certains de ces artistes, Nana Mouskouri fait une étonnante révélation.
En effet, l'interprète de "Quand tu chantes" avoue ne jamais avoir consommé le moindre stupéfiant, suite à une très mauvaise expérience avec... de la vitamine C. "Un soir à l'Olympia, j'ai pris deux vitamines C avant de monter sur scène. J'étais super énervée. Sur scène, j'allais comme une fusée. Mon mari, qui jouait de la guitare m'a demandé : 'Pourquoi tu vas si vite ?' Je ne me suis privée de rien, mais j'ai toujours fait très attention à la drogue : ma seule addiction, c'est la chanson", explique-t-elle dans les colonnes de VSD.
Avec un univers pourtant très éloigné, Nana Mouskouri révèle avoir toujours beaucoup aimé le rock'n'roll, et particulièrement le rockeur préféré des Français, Johnny Hallyday. "J'appartenais à la même génération que lui. Je chantais un autre style de musique, mais j'adore le rock. Mon rêve, c'était de faire un duo avec Johnny Hallyday, mais je n'ai jamais osé lui dire", révèle-t-elle au magazine.
Un univers qu'elle s'approprie dans son nouvel album "Forever Young" dans lequel elle reprend notamment le tube de Leonard Cohen "Hallelujah", celui d'Amy Winehouse "Love is a Losing Game", "Hey Jude des Beatles", ou encore le très célèbre "In the Ghetto" d'Elvis Presley.