Seine-et-Marne : un moniteur d’auto-école contrôlé positif au cannabis… en pleine leçon de conduite
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Un moniteur d’auto-école, qui se trouvait en compagnie d’un élève, a été contrôlé positif au cannabis à Vaux-le-Pénil, en Seine-et-Marne, mercredi dernier, rapporte le site Actu.fr vendredi 14 juin.
Oups… Un homme a été interpellé mercredi 12 juin à Vaux-le-Pénil en Seine-et-Marne. Il a été contrôlé positif au cannabis alors qu'il se trouvait à bord d'un véhicule. Le hic ? Il est moniteur d'auto-école et se trouvait, au moment des faits, avec un élève en pleine leçon de conduite, rapporte le site Actu.fr vendredi 14 juin.
Un important dispositif de police avait été mis en place aux abords du centre d'examen du permis de conduire, afin de contrôler des auto-écoles et des auto-entrepreneurs. Un moniteur a donc mordu à l'hameçon. La voiture de l'auto-école, une Mercedes, a été immobilisée avant d'être amenée à la fourrière. L'homme devra, lui, répondre de ses actes ultérieurement. Il sera convoqué par la police. L'élève n'a évidemment pas été inquiété. L'histoire ne dit toutefois pas si son heure d'apprentissage de la conduite lui sera remboursée…
Les moniteurs d'auto-écoles régulièrement contrôlés
Les contrôles inopinés visant les auto-écoles ne sont pas rares. Parfois, la police peut contrôler des élèves positifs à l'alcool ou aux stupéfiants mais, d'autres fois, ce sont les moniteurs eux-mêmes qui se retrouvent dans une position délicate.
Le 2 avril dernier, des policiers du Val-d'Oise ont contrôlé une monitrice d'auto-école qui faisait passer des leçons de conduite alors qu'elle-même n'avait pas le permis. La préfecture du Val-d'Oise a partagé cette information sur le réseau social X, expliquant que la femme avait présenté un permis non valide et qu'elle avait été, à la suite de ce contrôle inopiné, suspendue.
En poussant les investigations un peu plus loin, les forces de l'ordre avaient alors découvert que l'auto-école qui employait cette monitrice faisait également travailler un moniteur qui n'était pas déclaré. Une fermeture administrative pour travail dissimulé avait alors été rapidement décidé par la préfecture.
publié le 17 juin à 14h24, Maeliss Innocenti, 6Medias
