Insolite

"On m'a proposé un poste de chroniqueur" : quand Éric Lombard provoque l'hilarité d'un plateau télévisé en direct

© Capture d'écran BFMTV-RMC

Invité de la matinale de BFMTV-RMC, vendredi 17 janvier, le ministre de l'Économie et des Finances, Éric Lombard, a surpris la journaliste Apolline de Malherbe en faisant son retour sur le plateau, après la fin de l'interview.

C'est une scène pour le moins cocasse qui a dû faire sourire un grand nombre de téléspectateurs. Invité d'Apolline de Malherbe dans la matinale de BFMTV-RMC, vendredi 17 janvier, le ministre de l'Économie et des Finances, Éric Lombard, a cru bon de revenir sur le plateau de la chaîne après son interview, ce qui n'a pas manqué de surprendre la journaliste. "Bah vous revenez, mais c'est génial, j'adore", a-t-elle réagi aux côtés de ses chroniqueurs. "Parce qu'il y avait des trucs qui n'étaient pas clairs ?", a-t-elle ensuite ironisé.

"On m'a proposé un poste de chroniqueur comme j'ai un peu de temps libre", lui a répondu avec le sourire Éric Lombard. Ce à quoi Apolline de Malherbe n'a pas hésité à lui répondre : "Écoutez, je prends". Et ce, alors que le reste des chroniqueurs en plateau riaient aux propos du ministre, amusés et quelque peu médusés par ce qui venait de se produire. Alors que la journaliste lui demande s'il voulait ajouter des précisions à ses propos durant son interview de 20 minutes, le ministre lui répond que "pas du tout" et reste en place sur le plateau de la chaîne d'informations. "C'est une surprise que m'a faîte la régie", a précisé aux téléspectateurs la journaliste.

Les précisions d'Éric Lombard sur les impôts à venir

Durant son entretien sur BFMTV-RMC, Éric Lombard a notamment apporté des clarifications sur la feuille de route du gouvernement pour le Budget 2025, notamment sur les impôts à venir. Le ministre de l'Économie et des Finances a assuré que le barème de l’impôt sur le revenu va être réindexé sur l’inflation et sera inscrit au budget, que les impôts des PME et des artisans ne seront pas augmentés et que les hauts revenus devront bien contribuer à une "participation exceptionnelle", comme le prévoyait le budget de Michel Barnier.

publié le 17 janvier à 10h10, Quentin Marchal, 6Medias

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