Le dernier scooter de François Hollande, au cœur du "Gayet Gate", vendu 20 500 euros aux enchères
© Photo Mousse/ABACA
Le scooter avec lequel François Hollande, alors président de la République, allait voir celle qui était sa compagne cachée, Julie Gayet, a été vendu aux enchères dimanche 26 mai. L'acheteur a déboursé 20 500 euros.
Un scooter qui est entré "dans la catégorie des véhicules de légende". Ce n’est pas une exagération, ce sont les mots des commissaires-priseurs qui étaient chargés, ce dimanche 26 mai, de mener la vente aux enchères de l’ancien scooter de François Hollande. Le fameux trois-roues que possédait l'ex-président de la République, et avec lequel il allait voir sa compagne, Julie Gayet, en cachette. Ce scooter, au cœur du "Gayet Gate", a été vendu aux enchères pour la somme rondelette de 20 500 euros, selon un communiqué de la maison Rouillac. La mise à prix était de 10 000 euros. L'acheteur a souhaité rester anonyme.
Pourquoi ce scooter est-il entré dans la légende ? Car c’est avec ce scooter, un trois-roues italien, que François Hollande a été pris en photo par des paparazzis, en janvier 2014, des croissants à la main, en train de rejoindre celle qui s’est avérée être son amante, l’actrice Julie Gayet. La France et le monde entier ont découvert avec ces photos la nouvelle romance du président de la République, pourtant officiellement en couple avec la journaliste Valérie Trierweiler.
Un scooter avec beaucoup de "valeur" pour François Hollande
On ne sait pas si c’est à cause de ces photos, mais François Hollande s’était rapidement séparé du scooter, qui avait quitté le parc de l’Élysée en 2015. Il était ensuite passé par plusieurs propriétaires privés. Mais l’ancien président avait gardé un souvenir affectueux de son "dernier scooter". "J’ai toujours eu des scooters, et celui-là était le dernier donc il a encore plus de valeur !", avait réagi François Hollande en avril sur France 5.
Avant cette vente aux enchères, l'ex-propriétaire du scooter, qui l'avait directement racheté à François Hollande, était un septuagénaire du Loir-et-Cher. Il a décidé de se séparer de son bolide car des raisons de santé l’empêche d’en profiter.
publié le 26 mai à 15h12, Adèle Delaunay, 6Medias