Insolite

Elle gagne 3 000 euros net par mois… grâce à des cartes Pokémon

Une jeune femme d'une vingtaine d'années, que Capital a rencontrée, vit aujourd'hui de la vente de cartes Pokémon. Elle compte bien agrandir sa collection et s'est fixée de gros objectifs à atteindre.

Tout quitter et devenir éleveur de Pokémon ? Un rêve irréalisable. Mais tout quitter pour faire fortune dans le commerce des cartes Pokémon, ça, c'est tout à fait possible. Une jeune femme d'une vingtaine d'années est, depuis le premier confinement lié à l'épidémie de Covid-19, vendeuse de cartes Pokémon, relate Capital, qui l'a rencontrée. Elle ne pensait pas qu'une telle affaire pourrait être si florissante. Pourtant, quatre ans après, la jeune passionnée n'a aucune autre activité professionnelle : elle ne vit que de ça et gagne 3 000 euros net par mois en ne travaillant que deux à trois jours par semaine.

"C'est beaucoup plus que n'importe quel autre job traditionnel", a confié la jeune femme à Capital. Qui plus est, certains mois, elle peut quadrupler son chiffre d'affaires en fonction des offres qu'elle peut recevoir d'autres collectionneurs ou si elle décide de travailler plus. Ainsi, en février, elle a accumulé un gros pécule de plus de 12 000 euros.

Son objectif ? Atteindre le demi-million d'euros

La jeune femme, que Capital a choisi d'appeler Camille car elle souhaite garder l'anonymat, est aujourd'hui une véritable femme d'affaires. Son ambition est d'agrandir chaque jour un peu plus sa collection jusqu'à ce qu'elle atteigne, a minima, une valeur marchande d'un demi-million d'euros. Le chemin est encore long car sa collection est aujourd'hui estimée à plus de 120 000 euros (les pièces les plus précieuses sont conservées dans un coffre-fort à la banque).

Pour parvenir à ses fins, Camille réinvestit tout ce qu'elle gagne dans son business. Elle met juste 500 euros de côté par mois pour vivre. Une fois qu'elle aura atteint son objectif, elle changera probablement de voie : "Je ne me vois pas faire ça toute ma vie."

publié le 29 avril à 17h50, Maeliss Innocenti, 6Medias

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