Insolite

Ce jeu vidéo inquiète les associations de protection animale

© Capture écran trailer Palworld - Pocketpair - Dans Palworld, on peut manger les Pals, ces monstres qui ressemblent beaucoup aux Pokemon...

Le jeu vidéo Palworld connaît un lancement phénoménal, mais pas dénué de polémiques. Une nouvelle vient s'ajouter : la PETA s'inquiète du fait de manger les monstres dans le jeu, selon BFMTV.

Décidément, le jeu vidéo Palworld fait parler de lui. Le jeu édité par le sudio japonais Pocketpair met en scène des monstres, appelés des Pals, dans un jeu de survie. Vous pouvez dès lors les manger, ou les faire travailler dans votre camp pour qu'ils récoltent des pierres, cultivent des plantes... Et l'association Peta s'inquiète de la possibilité de manger ces Pals, selon BFMTV.

"Peta a déjà entendu de nombreux fans de Palworld qui n'ont aucun intérêt à manger des 'Pals' et qui veulent qu'un guide végan soit créé pour le titre" assure Elisa Allen, vice-président de l'association de défense des animaux. Effectivement, vous pouvez dans Palworld tuer des monstres pour vous nourrir avec ou nourrir ceux que vous avez capturés. Une voie végétalienne semble compliquée dans le jeu.

Un départ canon et des polémiques

Palworld est sorti le 19 janvier dernier, et connaît un départ canon, passant les 10 millions de joueurs. Avec ces chiffres, le jeu a doublé des grandes licences comme Cyberpunk, Harry Potter ou encore Elder Ring. Mais le jeu japonais essuie nombre de critiques, principalement à cause des ressemblances entre ses "pals" et les Pokemons. Beaucoup y voient dans Palworld un moyen de jouer à Pokemon, avec des armes à feu. La ressemblance ne s'arrête pas là : pour capturer ces monstres, vous devez utiliser des "Pal spheres", qui ressemblent à s'y méprendre aux pokeballs...

L'entreprise derrière la bande à Pikachu a fini par réagir, assurant qu'ils allaient "enquêter et prendre les mesures appropriées pour remédier à tout acte portant atteinte aux droits de propriété intellectuelle liés à Pokémon".

publié le 26 janvier à 10h55, Martin Pereira, 6Medias

Liens commerciaux