Deux-Sèvres : Erwan, un jeune homme de 18 ans, porté disparu, une enquête ouverte
© ANDBZ/ABACA
Erwan, 18 ans, n'a plus donné signe de vie depuis la nuit du samedi 10 au dimanche 11 février. Le parquet de Niort (Deux-Sèvres) a ouvert une enquête pour "disparition inquiétante", rapporte Le Parisien, lundi.
Les recherches continuent pour tenter de retrouver Erwan, qui n'a pas donné de nouvelles depuis la nuit du samedi 10 au dimanche 11 février. Le jeune homme, âgé de 18 ans, a disparu après être sorti en discothèque à Moncoutant-sur-Sèvre, dans les Deux-Sèvres. Lundi, un appel à témoins a été lancé par la gendarmerie. Selon les informations du Parisien, le parquet de Niort a également ouvert une enquête pour "disparition inquiétante".
"Les recherches ont débuté dès que les gendarmes ont été informés de la disparition et se poursuivent", indique une source auprès de nos confrères. Une battue a aussi été organisée sur les lieux de la disparition d'Erwan, lundi. Un hélicoptère de la gendarmerie survole la zone, tandis qu'une équipe cynophile doit également intervenir sur place.
"On imagine le pire"
Erwan, mince, mesure 1m70, a les cheveux bruns et les yeux marron. Il a été vu pour la dernière fois sur le parking de la boîte de nuit de Moncoutant-sur-Sèvre dans la nuit de samedi à dimanche. Il avait quitté les lieux seul et à pied. Le jeune homme, étudiant à Poitiers, portait un sweat vert foncé et un pantalon noir au moment de sa disparition. Sa mère ne croit pas à "la piste du départ volontaire", a-t-elle confié à Ouest-France. "Erwan est un ado lambda bien dans ses baskets, sociable et calme. Il n'a aucune raison de partir. C'est incompréhensible", a-t-elle ajouté, très inquiète.
"Aujourd'hui, on imagine le pire", a également affirmé la belle-mère d'Erwan, au micro de BFMTV, lundi. "On le voit traverser le parking de la discothèque, puis plus rien à cause d'un projecteur qui éblouit la caméra", a-t-elle détaillé. Avant de conclure : "Il a été mis dehors de la boîte de nuit. Ce n'est pas un garçon agressif, il n'est pas violent."
publié le 12 février à 21h30, Cédric Alexis, 6Medias
