Louis Sarkozy, le fils de l’ancien président devenu chroniqueur
© Capture d'écran de l'émission "22 heures Rochebin" sur LCI
Le fils de l’ancien président Nicolas Sarkozy a été invité sur le plateau de LCI pour parler de sujets allant de la guerre en Ukraine à la politique française.
Nouveau chouchou du plateau de LCI ? Louis Sarkozy, le fils de l’ancien président français, a été invité à deux reprises cette semaine aux "22 heures Rochebin", émission animée par Darius Rochebin. "Sans doute la nouvelle star en France", avance l’éditorialiste du Figaro Laurence Haïm, des propos rapportés par le journal ce dimanche 1er septembre.
"Depuis des années, j'aime découvrir avant leur victoire, les dirigeants de demain et cela quelle que soit leur couleur politique. Sa prestation sur LCI était un moment important", ajoute l’ancienne correspondante du groupe Canal+.
"On empêche la guerre en montrant les dents"
À l’antenne, Louis Sarkozy est invité à s’exprimer sur des sujets variés, allant de la guerre en Ukraine au futur Premier ministre. "L’homme de droite que je suis se réjouit qu’il n’y ait pas un gouvernement de gauche mais d’un autre côté, je me rappelle toutes les inquiétudes du général de Gaulle et sa méfiance envers les partis", a-t-il affirmé.
Présenté comme "essayiste", Louis Sarkozy a réagi à un discours de Ronald Reagan prononcé en 1964. Face à ceux qui ne seraient pas satisfaits par le "statu quo", et prêts à user de la force, il faut répondre avec la force, a-t-il soutenu. "On empêche la guerre en montrant les dents", a-t-il affirmé.
Il s’était déjà exprimé en avril dernier sur LCI, face à Darius Rochebin, sur l’aide américaine à l’Ukraine, en duplex depuis Washington, rappelle Le Figaro.
Âgé de 27 ans, Louis Sarkozy est diplômé d’un master de diplomatie et relations internationales de l’American University à Washington D.C., mais également de l’Académie militaire de Valley Forge et de l’Université de New York, avec une double spécialisation en histoire et en philosophie, détaille le Figaro. Il est également passionné par l’histoire et le personnage de Napoléon Bonaparte, sur qui il vient de publier un livre, édité aux États-Unis et en Angleterre. Il s’est défini comme appartenant à "la droite Figaro" ou "la droite Wall Street Journal", ajoute le journal.
publié le 1 septembre à 18h20, Alexis Gail, 6Medias