Législative partielle : une partie des grenoblois de retour aux urnes
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Les électeurs d’une partie de l’Isère doivent élire le successeur du député Insoumis Hugo Prévost, accusé de violences sexuelles et exclu de LFI.
Dimanche 12 janvier, une partie de l’Isère doit élire le député de la première circonscription du département qui succèdera à Hugo Prévost, accusé de violences sexuelles au mois d’octobre dernier. Par la suite, le jeune élu de 25 ans avait été contraint de démissionner de son poste et a même été exclu du parti de La France Insoumise.
Pour ce scrutin, onze candidats sont en lice et les sondages sont pour l’heure incertains, d’après Le Parisien. Malgré une faible participation attendue, les candidats annoncés ont fait l’objet de tensions dans certains camps. Comme à gauche, où Lucie Castets avait un temps envisagé de se présenter, rapporte le journal. C’est finalement Lyes Louffok, militant des droits de l’enfant, qui se présente sous la bannière du Nouveau Front Populaire (NFP). Chez Renaissance, Camille Galliard-Minie a été préférée à l’ancien député et ex-ministre de la Santé Olivier Véran.
Second tour le 19 février
Parmi les autres noms annoncés, Alexandre Lacroix, de l’Union des droites, le parti d’Éric Ciotti, se porte lui aussi candidat à cette élection législative. Une élection qui concerne une partie des électeurs de la ville de Grenoble et des communes alentours.
Dimanche, les bureaux de vote seront ouverts de 8 à 18 heures. Concernant la capitale des Alpes, le scrutin sera possible jusqu'à 20 heures. Enfin, si aucun candidat ne l’emporte à la majorité au premier tour, un second tour se déroulera le 19 janvier.
publié le 12 janvier à 10h25, Allan Doisneau, 6Medias
