Il faudra encore attendre pour avoir des preuves formelles. La mission de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), dépêchée en Syrie pour enquêter sur l'attaque chimique présumée perpétrée à Douma début avril, n'a pas encore eu accès au site, affirme l'ambassadrice britannique à l'OIAC.
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"L'OIAC est arrivée samedi à Damas. La Russie et la Syrie [présentes au sol] n'ont pas encore autorisé l'accès à Douma", a-t-elle déclaré lundi 16 avril dans un tweet, lors d'une réunion d'urgence du conseil exécutif de l'OIAC à La Haye, aux Pays-Bas. Elle a auparavant exhorté l'OIAC à "demander des comptes aux auteurs de l'attaque…