États-Unis : en proie à des troubles mentaux, il coupe la tête de sa mère quelques heures avant sa fête surprise
© Gorodenkoff - Scène de crime aux Etats-Unis. (Image d'illustration)
Ils l'attendaient pour lui faire une fête d'anniversaire surprise, ils l'ont retrouvé décapitée chez elle. Un drame sordide s'est déroulé dans la ville de Glendale, aux États-Unis, relate USA Today. Le principal suspect est le fils de la victime, âgée de 25 ans.
Tuée et décapitée par son propre fils de 25 ans. Un drame et une scène effroyable digne d'une fiction d'épouvante qui s'est déroulée à Glendale, une ville d'Arizona aux États-Unis. Teresa de Jesus Cruz Rubio était une femme de 49 ans. Invitée vendredi 27 septembre à une réunion de famille, ses proches lui avaient organisé un anniversaire surprise, mais elle n'arrivera jamais à destination.
Au cours d'une conférence de presse organisée par la police de Glendale, le sergent Bryan Hoskin a narré les faits épouvantables, cités dans le quotidien national USA Today. Après quelques heures d'attente, la famille de Teresa Rubio, inquiète par son absence, a décidé finalement de se rendre au domicile de leur invitée. Avec l'aide d'un serrurier, ils parviennent à rentrer. Le corps est retrouvé quelques mètres plus loin, caché sous une couverture. Elle avait été décapitée et victime de plusieurs coups de couteau aux bras, à l'abdomen et à la poitrine.
Les troubles mentaux du fils
Dans la salle de bain, où de grands traits de sang maculent les murs, la douche coulait toujours. Dans la cuisine, plusieurs couteaux traînaient dans l'évier, l'un d'eux était couvert de sang et de cheveux. Les enquêteurs se sont alors orientés vers la piste du fils de Teresa, âgé de 25 ans. Ce dernier souffrait de plusieurs troubles mentaux. Il avait été libéré quelques heures plus tôt de la prison où il séjournait pour "une affaire sans rapport", selon la police.
Retrouvé par la police, le principal suspect a reconnu avoir poignardé sa mère en garde à vue et avoir "séparé sa tête de son corps". Il a raconté avoir pris de la méthamphétamine avec un homme qui "aurait fait quelque chose à sa mère" et lui aurait demandé de la poignarder, arguant du fait qu'elle ne ressentirait rien. Rien n'indique pour l'instant que cet homme existe réellement selon les premiers éléments de l'enquête de police.
publié le 2 octobre à 14h07, Gabriel Gadré, 6Médias
