Un chihuahua retrouvé à 1 200 kilomètres de chez lui… au Portugal
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Le chihuahua de Céline était porté disparu depuis un mois lorsqu’elle a reçu un mail d’un vétérinaire l’informant que son chien avait été retrouvé au Portugal. On ne sait toujours pas comment ce petit chien a pu parcourir les 1 200 kilomètres qui le séparent de sa maîtresse.
C’est une histoire qui paraît impossible. Alors que Céline laisse, il y a un mois, sa chienne chihuahua, nommée Joy, se balader dans son jardin à Villar-Saint-Pancrace, dans les Hautes-Alpes, cette dernière disparaît. Céline pense alors que sa petite chienne est "morte de froid" ou qu’elle a été "mangée par un renard", confie-t-elle à BFMTV.
Céline, inquiète, a recherché activement sa chienne pendant des semaines, en faisant du porte-à-porte dans son quartier et en collant des affiches avec des photos de l’animal. Mais rien n’a permis de retrouver Joy.
Une issue miraculeuse
Après avoir perdu espoir, Céline a reçu un appel "d’un vétérinaire de Savoie indiquant qu’il a reçu un mail d’un vétérinaire portugais ayant enregistré la puce d’un chien appartenant". Bien que Céline n’ait pas tout de suite cru à la bonne nouvelle, Joy a miraculeusement été retrouvée au Portugal, à 1 260 kilomètres de son village.
Une femme a retrouvé Joy dans un champ à côté de chez elle et l’a emmenée chez un vétérinaire, qui s’est empressé de contacter tous les vétérinaires français possibles. Céline a pu échanger avec cette femme afin de s’assurer que le chien retrouvé était bien sa Joy.
L’heureuse propriétaire du chien retrouvé s’apprête à aller en voiture jusqu’au Portugal pour retrouver son amie à quatre pattes. Elle devrait arriver sur place le 23 mai. On ne sait toujours pas comment le petit chien a pu se retrouver aussi loin de chez lui.
L’histoire de Joy rappelle l’importance de l’identification des animaux de compagnie grâce à une puce qui permet de retrouver les informations du propriétaire. Pour rappel, les animaux carnivores domestiques (Icad), tels que les chiens et les chats, doivent obligatoirement être identifiés par puce électronique ou tatouage au fichier national d’identification.
publié le 20 mai à 18h33, Philippine Rouviere Flamand, 6Medias
