Saint-Denis : une fillette de 11 ans retrouvée morte après avoir chuté du 13e étage de son immeuble
Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Saint-Denis après la découverte du corps d'une fillette de 11 ans en bas de son immeuble, jeudi 4 avril, révèle BFMTV. L'enfant aurait fait une chute depuis le 13e étage de son immeuble situé dans la cité de la Courtille.
Tragique drame à Saint-Denis. Le corps sans vie d'une enfant de 11 ans a été découvert, jeudi 4 avril, au pied de son immeuble situé dans la cité de la Courtille à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), révèle BFMTV. Il était environ 5 heures du matin lorsque ses parents, qui pratiquent le Ramadan, ce mois saint lors duquel est pratiqué le jeûne, se sont réveillés afin de prendre leur premier repas de la journée. Après avoir découvert que la fenêtre de la chambre de sa fillette était ouverte, la mère de famille a tout de suite alerté son mari. Ce dernier s'est alors rendu au pied de leur immeuble d'habitation, avant de faire la terrible découverte.
L'enfant déclarée morte sur les lieux
Les services de secours ont rapidement été déployés sur les lieux du drame. Malgré l'intervention des pompiers et du Samu, l'enfant n'a pu être réanimée et a été déclarée morte sur les lieux. Selon les premières constatations établies sur place, la fillette aurait chuté du 13e étage où est situé l'appartement familial avant de se retrouver en bas de ce dernier. Une enquête pour faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame a été ouverte et confiée au commissariat de Saint-Denis, précisent nos confrères.
Ce tragique fait divers en rappelle un autre, qui s'est noué lundi 1er avril. À Alès (Gard), une fillette âgée de deux ans a été grièvement blessée après avoir chuté du troisième étage d'un immeuble. Alors qu'elle se trouvait sur le balcon, l'enfant aurait ainsi échappé à la vigilance de sa grand-mère qui en avait la responsabilité. Retrouvée extrêmement alcoolisée avec un taux d'alcool de 3g/litre à l'intérieur de l'habitation a été placée en garde à vue, de même que le grand-père des enfants pour délaissement de mineurs.
publié le 4 avril à 16h00, Kévin Comby, 6Medias
