Disparition inquiétante : une étudiante recherchée dans le Doubs
© ANDBZ/ABACA
Alice Galmiche, 25 ans, n’a plus été vue depuis le samedi 9 novembre 2024 dans la commune des Auxons.
Sans nouvelles de la jeune femme depuis samedi 9 novembre, les proches d’Alice Galmiche ont alerté la gendarmerie du Doubs, qui a publié un appel à témoins lundi 11 novembre pour disparition inquiétante sur ses réseaux sociaux. La jeune femme se trouvait chez sa grand-mère à Pouilley-les-Vignes, tout près de Besançon, le vendredi soir. Alice Galmiche a les cheveux bruns, mi-longs. Elle mesure 1m68, a les yeux bleus et peut être munie de lunettes de vue aux verres larges et ronds. Lors de sa disparition, elle était habillée d’un manteau noir et d’une écharpe jaune.
Un témoin affirme l’avoir vue le samedi vers midi, à un arrêt de bus de la commune voisine des Auxons et n’a plus donné signe de vie depuis. "Cela fait déjà trois nuits qu'elle est dehors", s'inquiète sa mère, interrogée par France 3 Bourgogne-Franche-Comté. Cette dernière précise que sa fille était dans un état dépressif en ce moment. La jeune femme est étudiante à Lille. Elle était revenue provisoirement habiter chez sa grand-mère à Pouilley-les-Vignes.
Elle a tenté de joindre sa famille le samedi
Elle aurait quitté le domicile de sa grand-mère sans son téléphone portable, mais aurait tenté d’appeler ses proches avec le téléphone d’une joggeuse croisée sur son passage le samedi, pour demander qu’on vienne la chercher. "Malheureusement, on n’a découvert le message que le soir", regrette sa mère, qui pense que l’étudiante a pu tenter de rejoindre la maison de ses parents, à Montarlot-lès-Rioz (Haute-Saône), à une vingtaine de kilomètres plus au nord.
Des équipes cynophiles ont été mobilisées pour tenter de la retrouver. Un hélicoptère de la gendarmerie a également été engagé pour scruter les champs et bois du périmètre de la disparition. Des avis de recherche ont été placardés à Besançon. En cas d’informations à son sujet, il faut contacter la gendarmerie du Doubs au 03 81 21 16 60 ou composer le 17.
publié le 11 novembre à 16h36, Auguste Breton, 6Medias