France

Chantage au suicide, grosse colère... L'épouse de Kendji Girac brise le silence pour la toute première fois

Dans une longue interview donnée au Parisien, Soraya Miranda, la femme de Kendji Girac, raconte l’accident du 22 avril dernier et rétablit surtout sa vérité.

L’histoire du coup de feu qui a grièvement blessé Kendji Girac fait couler beaucoup d’encre depuis le 22 avril. Trois jours après l’accident, le procureur de la République de Mont-de-Marsan avait donné une longue conférence de presse dans laquelle il expliquait les relations entre le chanteur et sa femme, les addictions de celui-ci et surtout les circonstances du tir. Kendji Girac aurait simulé une tentative de suicide et se serait tiré dessus par accident. Depuis, on a également entendu que Soraya Miranda, originaire de Suisse, avait quitté la France, laissant son compagnon seul dans sa convalescence. Mais tout cela serait complètement faux, d’après Soraya Miranda elle-même, qui a répondu aux questions du Parisien dimanche 5 mai.

La femme du chanteur sort pour la première fois du silence pour "rétablir certaines vérités". Tout d’abord, elle donne des "nouvelles rassurantes" de son mari. Elle explique aussi être toujours sous le choc après l’accident : "Il aurait pu mourir ou être paralysé. C’est miraculeux qu’il soit en vie."

Les déclarations du procureur démenties

Concernant certaines déclarations du procureur de la République, Soraya Miranda assure qu’elles sont totalement fausses. Elle avait été décrite comme victime de sexisme de la part de la famille de Kendji Girac. "C’est surréaliste, tout ce qui a été dit", assure-t-elle au Parisien, avant d’affirmer qu'elle est "une femme de caractère" et que "Kendji est d’une gentillesse infinie".

Elle assure aussi que "Kendji [ne lui a] jamais fait de chantage au suicide". Enfin, concernant son départ pour la Suisse : "C’est complètement faux. J’étais à l’hôpital avec lui."

Soraya Miranda explique être choquée que sa vie intime ait été déballée sans son accord et que des "contrevérités" aient été écrites. Elle demande enfin que sa vie privée soit respectée et espère "retomber dans l’anonymat" rapidement.

publié le 5 mai à 20h52, Philippine Rouviere Flamand, 6Medias

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