Carla Bruni révèle avoir été “diagnostiquée d’un cancer du sein” et incite les femmes à se faire dépister
© Imago / Panoramic - Carla Bruni-Sarkozy a révélé avoir été diagnostiquée d'un cancer du sein il y a quatre ans, sur sa page Instagram.
L’ex-Première dame a posté sur Instagram, une vidéo, dans laquelle elle explique avoir été diagnostiquée d’un cancer du sein il y a quatre ans. En plein mois d’Octobre Rose, elle encourage les femmes à faire des mammographies de dépistage.
L’Institut national du cancer estime qu’à la fin de 2023, 61 214 nouveaux cas de cancer du sein auront été diagnostiqués en France métropolitaine. En pleine campagne d’Octobre Rose, qui vise à sensibiliser le grand public a ce mal, Carla Bruni a partagé une publication à ce sujet sur son compte Instagram, mercredi 4 août. Faisant défiler des panonceaux, l’artiste et épouse de l’ancien Président Nicolas Sarkozy explique qu’on lui a diagnostiqué un cancer du sein, il y a quatre ans. Puis, elle rappelle son parcours pour traiter ce genre de cancer. “Chirurgie, radiothérapie, hormonothérapie”, liste-t-elle, en prenant le soin de préciser qu’il s’agit des étapes classiques partagées par toutes les femmes atteintes du cancer du sein.
Le cancer le plus meurtrier chez la femme
La chanteuse précise également que son cancer n’en était pas encore à un stade agressif, parce que dépisté précocement. Carla Bruni souligne que “chaque année, à la même date, (elle) fait une mammographie“. “Si je n’avais pas fait ça chaque année, je n’aurais plus de sein gauche aujourd’hui”, ajoute-t-elle. Précisant qu’elle a beaucoup hésité a parlé de sa santé en public, elle précise avoir accepté de communiquer sur ce sujet dans le but de “livrer un seul message” : “Faites vos mammographies chaque année.” Et d’ajouter : “Il en va de votre vie.”
Publié en partenariat avec l’Institut du sein Paris - Cancérologie, ce message, à la fois sobre et fort, veut faire office de sonnette d’alerte. Comme le précise l’Institut national du cancer sur son site, le cancer du sein est à la fois le plus fréquent et le plus meurtrier chez la femme. Dépisté tôt, le taux de survie est de 87 %.
publié le 4 octobre à 10h17, Cathy Gerig, 6Medias
